dimanche 29 juin 2014

A place to call home, home sweet home


Synopsis:

Nous sommes dans les années soixante.

L'infirmière Sarah Adams rentre en Australie après des années passées en Europe.

Sur son trajet retour en mer, elle fait la connaissance d'un riche veuf, George Bligh qui lui propose un emploi d'infirmière dans la clinique de sa petite ville. 
Elle stoppe la tentative de suicide  du fils de ce dernier en mer.

Sarah Adams souhaite se réconcilier avec sa mère qui ne lui parle plus depuis sa conversion au judaïsme
Tentative qui avorte.
 
Elle rejoint finalement le poste proposé à la clinique mais son arrivée dans cette localité est loin d'être acceptée.
De lourds secrets sont dissimulés.

Chaque pays a, dans la création des séries, ses qualités
Les créations australiennes abordent particulièrement bien les discriminations, le racisme, l'antisémitisme, l'homosexualité.

Les intrigues de cette première saison sont bien menées
Les ingrédients subtilement dosés
Des rivalités amoureuses
Des révélations douloureuses
La présence d'une intrigante belle mère
Celle d'une commère

"A place to call home" s'appuie largement sur le rôle de Sarah Adams qui est narratrice de l'histoire.
Les femmes sont loin d'être des faire valoir
La série comporte son lot de drames mais la fin de la première saison laisse un peu de place à l'espoir

La deuxième saison, pour l'instant n'est pas aussi agréable
L'espoir s’éteint petit à petit pour tous les personnages
Les secrets s'accumulent, c'est un peu dommage
On imagine mal après un bonheur réalisable

Je vais suivre l'histoire jusqu'à son terme, en espérant une éclaircie
Après les nuages, place à un peu d'accalmie
Rien n'est moins sûr
Mais je ne me laisserai pas avoir à l'usure

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