lundi 30 juin 2014

Les enquêtes d'Endeavour Morse, Oxford décodé


Synopsis:

1965, un jeune détective, Endevour Morse ne voit pas son travail récompensé. 

Il songe à arrêter ce métier.

Mais la résolution de sa première enquête avec son supérieur Fred Thursday fera t-elle enfin décoller sa carrière?

Les années soixante sont parfaitement reconstituées
Le soin apporté aux détails est absolument épatant
Oxford est magnifié
Enfin une série anglaise diffusée sur nos écrans

Les personnages sont superbement construits
Les détails sur leurs parcours savamment distillés
Tous les ingrédients d’une excellente série
Agrémentés d'une musique à la douceur surannée

La deuxième saison est diffusée Outre-Manche actuellement
La qualité va crescendo
L’aficionado est soumis à une attention de tous les instants
Sinon gare aux quiproquos

Chasing Life, une série qui ne vise pas l'éternité

 

Synopsis:

April, jeune journaliste pleine d'ambition voit sa vie bouleversée par la maladie.

Petite série estivale
Pas de grandes espérances

Je lui laisse tout de même sa chance
Et oui, peu de choses à croquer, je suis moins exigeante

Chasing life ,ne marquera pas la saison
Mais elle se laisse regarder
Les acteurs sont beaux, la nature est bien faite

Le générique me plaît, il est dynamique et j'aime sa musique
Le scénario n'est pas innovant
Mais l'ensemble est harmonieux

Le cancer comme trame de fond a déjà été abordé par la série the big C, difficile de rivaliser avec une série de cette qualité
Mais Chasing life ne cherche pas à l'égaliser

C'est une petite série sans grande ambition
Je vois se profiler la faucille de la déprogrammation

dimanche 29 juin 2014

Frankie Valli & the 4 seasons, aux années 60 on ne reste pas sourd


Le cinéma me fait voyager dans le temps
Depuis le film Jersey Boys je suis plongée dans les années soixante
Je ne vais y rester un moment
J'écris sur December, cette musique est dynamisante

Je vais tenter de coller au rythme mais nous sommes fâchés depuis les cours de solfège
Les arpèges auront été mon piège
Ma carrière de musicienne, il fallait que j'abrège.
Pour stopper ce sacrilège.

Les 4 seasons et son chanteur vedette Frankie Valli, j'ai en fond sonore
Le silence est souvent d'or mais parfois c'est bien un peu de musique dans le transistor

A place to call home, home sweet home


Synopsis:

Nous sommes dans les années soixante.

L'infirmière Sarah Adams rentre en Australie après des années passées en Europe.

Sur son trajet retour en mer, elle fait la connaissance d'un riche veuf, George Bligh qui lui propose un emploi d'infirmière dans la clinique de sa petite ville. 
Elle stoppe la tentative de suicide  du fils de ce dernier en mer.

Sarah Adams souhaite se réconcilier avec sa mère qui ne lui parle plus depuis sa conversion au judaïsme
Tentative qui avorte.
 
Elle rejoint finalement le poste proposé à la clinique mais son arrivée dans cette localité est loin d'être acceptée.
De lourds secrets sont dissimulés.

Chaque pays a, dans la création des séries, ses qualités
Les créations australiennes abordent particulièrement bien les discriminations, le racisme, l'antisémitisme, l'homosexualité.

Les intrigues de cette première saison sont bien menées
Les ingrédients subtilement dosés
Des rivalités amoureuses
Des révélations douloureuses
La présence d'une intrigante belle mère
Celle d'une commère

"A place to call home" s'appuie largement sur le rôle de Sarah Adams qui est narratrice de l'histoire.
Les femmes sont loin d'être des faire valoir
La série comporte son lot de drames mais la fin de la première saison laisse un peu de place à l'espoir

La deuxième saison, pour l'instant n'est pas aussi agréable
L'espoir s’éteint petit à petit pour tous les personnages
Les secrets s'accumulent, c'est un peu dommage
On imagine mal après un bonheur réalisable

Je vais suivre l'histoire jusqu'à son terme, en espérant une éclaircie
Après les nuages, place à un peu d'accalmie
Rien n'est moins sûr
Mais je ne me laisserai pas avoir à l'usure

Les nouvelles mésaventures d'Harry Lloyd, le muet me parle

La photographie d'Harry Lloyd, suspendu à une horloge a fait le tour du globe.
Je ne connaissais pas le personnage mais je me souviens de cette image peu banale


 Ici, nous suivons ses mésaventures, comme le titre l'indique:

 - Harold chez les pirates
- Un, deux, trois...partez!
- Mon ami le voisin
- Harold à la rescousse

 

Ces 4 petits films réalisées de 1917 à 1919, ne sont pas de toute première jeunesse
Mais ce sont 48 minutes de situations drôlissimes où les parents présents dans la salle prennent l'âge de leurs enfants.
Elles donnent un peu de couleur dans nos vies le temps d'un film pourtant en noir et blanc.
D'une même unité, nous disons adieu à la tristesse

le procès de Viviane Amsalem, divorcer en terre de Jérusalem

 

Le titre du film correspond au récit du film:

Nous suivons le déroulé des audiences
De son mari, Vivianne Amsalem veut officiellement se séparer
Son époux est consulté
Mais il refuse de divorcer

Ce film est magnifiquement réalisé
Les acteurs sont éclatants de vérité
C'est un huit clos, le risque est grand de rendre le spectateur prisonnier de la séance
Une phrase me reste en mémoire "on peut distiller sa haine en silence"
De quoi Viviane se plaint-elle? Elle a un mari qui ne la maltraite pas, quelle chance !

Les époux restent le plus souvent muets
Ils ne communiquent plus
Leurs avocats parlent pour eux
Les témoins attestent de leur situation
Les juges rabbins décident selon le la volonté du mari

Les témoignages se suivent et la situation devient de plus en plus aberrante
Le mari accepte le divorce pour ensuite le refuser
la procédure s'arrête pour 3 ou 6 mois et reprend
Le cérémonial de séparation est dénué de sens
C'est une situation Kafkaïenne

samedi 28 juin 2014

Dans la peau d'une touriste à Bordeaux, ce n'est pas de tout repos !

Mon commentaire sera plus court que mon tour

Le city pass et le plan de Bordeaux en ma possession
Je pars en excursion
Valable 48h après validation, pas une minute d'inattention

Commençons sans détour

Le périple,  je vais vous résumer                                                            
Par le bus city tour, j'ai débuté
Le soleil et le vent s'étaient invités
Ventilée, je l'ai été
Mais la petite voix dans les écouteurs, j'ai écoutée

Le capc était le suivant
Ce lieu est fascinant
Les expositions changent régulièrement
Un artiste asiatique expose ses œuvres oniriques actuellement
Le projet de pont, exposé, est innovant

Le périple continue avec la basilique Saint Michel et sa Flêche
L'idée de voir les hauteurs de Bordeaux me donne la pêche
Mais les 230 marches m'assèchent
La flêche et les vendeurs d'eau doivent être de mêche
Petite mémoire, mes photos sont mes anti- sèches

La suite du programme, je me lance
le musée des beaux arts n'est pas immense
Mais le lieu a de la prestance
L'art du 19ème n'a pas ma préférence
L'accueil y est d'une grande prévenance

La galerie des beaux arts, le plan me suggère
On y découvre des expositions temporaires
Les orientalismes sont actuellement locataires
Je n'y connais rien, je ne fais pas la fière
C'est peut- être un peu austère
Mais l'accueil est solaire

Le centre Jean Moulin met en lumière des inconnus
L'histoire est faite d'individus souvent méconnus
Des portraits de résistants sont suspendus
Des documents et objets de cette époque sombre sont entretenus
Longtemps ils seront vus
Pour que toujours la transmission continue

Je suis allée en haut de la porte Caillhau
Je préfère le lieu de l'extérieur, il semble plus haut
L'intérieur est large comme un étau
Toutes ces marches, c'est pour les jouvenceaux
On y a un peu chaud mais l'histoire le rend beau

Le palais Rohan est le suivant
J'y vais pour les formalités habituellement
Mais aujourd'hui, je souhaite voir les photos sur la Syrie exposées actuellement
Elles ont été décrochées un jour avant la date prévue, malheureusement
Je profite du lieu qui, dans l'histoire est marquant

Je vous rassure, je ne parle pas en vers
Habituellement je parle plutôt à tort et à travers 


La mort aux trousses, Gary Grant a la frousse

 
Hitchock est le papa du 7 ème art

Connu pour ses films effrayants
Il excelle dans le plus léger également
La mort aux trousse est l'un de ses films phares

Film:
Roger Thornill est pris par erreur pour un espion
Dans la découverte de la vérité nous le suivons

Le début du film est hilarant
Gary GRANT en fils modèle est épatant
L'amour, le mystère , l'humour sont présents
Mélangés subtilement,
Le résultat est détonnant

L'ex de ma vie, le mariage bancal de paris et l'italie


Le film:
Ariane souhaite se remarier
Mais elle doit d'abord divorcer

Son ex, qu'elle ne voit plus est resté en Italie
Finalement ils se retrouvent à Paris

Nino acceptera la séparation à une condition
Qu'ils réalisent la lune de miel qu'ils n'ont pas eu à leur union

La musique lily and the pricks est bien choisie
la bande-annonce donne envie
Elle me laisse espérer une comédie romantique
Le début est dynamique

Géraldine Nakache, Ariane est joliment habillée
Son futur ex mari est doté d'un physique qui ne peut qu’unanimement être apprécié

Malheureusement les moues boudeuses de Nino ne parviennent pas à sauver un scénario trop pévisible
L'idée de départ était pourtant plausible

Les acteurs ne connaissent pas la subtilité
Dommage que les rôle ne soient pas assez travaillés
Tout cela manque de subtilité

Paris et l’Italie caricaturés,
C'est un peu Montmartre au ciné

vendredi 27 juin 2014

LOVE CHILD, le Call the Midwife venu d'Océanie


 

Je vais tenter de résumer sans rien dévoiler:

Dans les années 50, 60 la série est située.
Tombées enceintes hors mariage, des jeunes filles sont contraintes de rester dans une institution le temps d'accoucher et de faire adopter les nouveaux nés.

C'est une belle série qui a connu un franc succès
Dès les premières minutes, je suis happée
J'ai dévoré la saison et je suis loin d'être affamée
Je ne suis jamais rassasiée

Tous les sujets sensibles sont subtilement abordés
Les discriminations raciales, sociales, sexuelles.
Des difficultés finalement intemporelles
La guerre en fond de trame n'est pas oubliée

Je découvre les séries australiennes et je les fais miennes
Les français peuvent rougir de la qualité des séries océaniennes et américaines

J'attends leur arrivée en France
Je me délecterai de leur présence

Certains l'aiment chaud, un peu frappé mais pas réchauffé

 
 
Film: 

Pour échapper à la mafia, deux musiciens sont contraints de se déguiser en femmes.
Il se joignent à un groupe de musiciennes dans lequel Marilyn Monroe officie
Ils tombent sous son charme
Mais comment avouer qu'ils se sont travestis?

Billy Wilder dans ce qu'il y a de meilleur
Dans ce film drôlissime, Jack Lemmon et Tony Curtis sont acteurs 
C'est 120 minutes de pur bonheur
Et surtout l'assurance d'être de bonne humeur

Certes nous sommes dans du noir et blanc
Mais ce n'est pas gênant
L'image et le son sont plus que corrects
Et bien évidement "Nobody is perfect!!"

jeudi 26 juin 2014

Le parlement by ALEX, j'en PARLE, je ne MENTS pas, il ne rimera pas avec EX


Ici, sont à l'honneur les pâtisseries
Elles nous invitent à la rêverie
Les gourmands sont au paradis

L’appétence pour le sucré, je n'ai pas
L’éclaircie viendra peut être grâce au panna cota
Je testerai mais je n'en doute pas

En hiver un thé théordor j'ai aimé
En été, un cappuccino frappé j'ai adoré

Le parlement By Alex réalise ma boisson du moment avec talent
J'y viens si l'envie me prend
J'y viens si j'en ai le temps

Le lieu est agréable
Peut être un peu inconfortable
Mais on s'attable en terrasse sous un soleil inoubliable

Le salon de thé est tenu avec classe
Même nombreux, ils vous trouverons de la place

Les échos sur ce lieu sont particulièrement bons et c'est avec raison
Le wifi, ils ont
Alors, dégustons nos gourmandises, sirotons nos boissons, discutons ou surfons.

3 place du parlement
33000 Bordeaux 

05.56.52.92.86

En semaine: 9h00 à 20h00
Le week end: 10h00 à 20h00

https://www.facebook.com/leparlementbyalex/timeline

Gaudi, le mystère la de la Sagrada Familia reste entier


Un film est un pélerinage dans une autre vie que la nôtre, une autre ville ou un autre pays que le notre.

La sagrada familia est une métaphore de la vie
Comme elle, elle n'est pas achevée,
Comme elle, elle est bâtie par des inconnus

Gaudi est l'architecte de cette tour de Babel
La comparaison est vite faite, de part sa hauteur et la longueur de son édification
Cependant elle n'est pas source de confusion
Mais d'union spirituelle

Le documentaire laisse la parole aux architectes, sculpteurs, maître-verrier, chef de chantier qui perpétuent le travail de Gaudi
Les vues de la Sagrada familia sont magnifiques
C'est un lieu unique
Le pape Benoit XVI  l'a bénie

C'est un endroit à préserver
Mais les chantiers entrepris pour le métro le mette en péril
De nombreuses personnes y sont hostiles
Espérons que leurs voix soit écoutées

Le mystère de la sagrada familia n'est pas élucidé
Gaudi reste seul détenteur des clefs

Happy valley, le yorkshire en autoportrait



Je suis une grande amatrice de séries
Toujours en quête de nouveautés

Je ne suis pas bilingue alors j'attends patiemment la version sous-titrée

Je suis attentive, l'accent n'est pas toujours évident
Mais je ne culpabilise pas, la langue j'apprends.


Synopsis:
Sarah Lancashire joue un sergent, elle vie avec Siobhan Finnera, sa soeur, .
La fille d'une collègue de travail bénévole est enlevée contre rançon
Les proches n'osent pas prévenir la police et vivent dans la peur
Sarah Lancashire leur fait entendre raison
Il s'agit maintenant de retrouver la jeune femme et arrêter ses ravisseurs

Happy valley est une mini-série,
Elle ne se prolonge pas à l'infinie

Nous retrouvons deux actrices que j'apprécie
Sarah Lancashire et Siobhan Finnera officient

L'univers de paradise pour l'une et de downton abbey pour l'autre est loin
Mais elles jouent avec grand soin

La série témoigne très bien des difficultés sociales existantes dans les petites villes
La perte d'un enfant est abordée de manière subtile

Cette série n'a de mini que la durée de sa saison
Regardez la, vous aurez bien raison

mardi 24 juin 2014

Au fil d'Ariane, fait de grosses ficelles


Film:

Ariane se prépare à accueillir sa famille pour son anniversaire.
Les invités se désistent 
Elle se retrouve seule, bien triste
Elle prend sa mini et s'enfuit en direction de la mer 

J'aime la musique d'introduction mais elle laisse vite place à une certaine déception et une réelle consternation.

Ce film est une succession de mauvaises métaphores.

Un petit florilège pas très accrocheur:

- Aller au restaurant pour manger c'est comme aller à la piscine pour nager.
- L'amour, c'est donner ce qu'on a pas à quelqu'un qui n'en veut pas.
- La chance c'est comme un train qui ne s'arrête pas

Sa composition:

Une addition de clichés
Une actrice principale bien chaussée
Merci aux gros plans appuyés

Une multiplication d'histoires sans liens
Un jeu d'acteur qui ne sauve rien
Merci à la tortue qui s'en sort bien
 
N'épiloguons pas sur le mauvais
Focalisons nous sur le film d'après
Ou sur les précédents
"Marius et Jeannette" était excellent

The two face of January, Un visage qu'on oublie



Le cinéma s'appuie sur un fondement économique bien connu, celui de l'offre et de la demande.
Si peu de spectateurs sont au rendez-vous, Rfm bordeaux vous offre des places.

"The two face of january" est victime, avant même son entrée en salle de son impopularité.
Il est 20h15, nous sommes peu en salle.
Mauvais présage.
Mais je ne vais pas me défiler.

Le film:
En 1960, un couple d'américains visite l'acropole en Grèce.
Il sont guidés par un jeune américain, arnaqueur, séduit par la beauté de la jeune épouse et le charisme du mari.
Mais ce dernier cache un secret qui aura de lourdes conséquences.

Le film est diffusé en version française
En version originale, l'adaptation aurait été mauvaise
Paricia Highsmith a écrit le roman qui l'inspire
Je ne l'ai pas lu mais je vais m'en saisir

L'histoire n'est pas mauvaise,
Un tantinet niaise

l’adaptation souffre d'une grande lenteur 
Je m'abandonne vite dans la torpeur

Aussitôt vu
Aussitôt disparu

Seul mon rhume me rappelle que je suis allée dans un cinéma bien trop climatisé

Mean Streets, les années 80 restaurées


Le film bénéficie d'une restauration et d'une rediffusion sur grand écran

C'est rassurant, même scorcese est mauvais de temps temps.

film:  
La mafia est installée dans le quartier. 
De l'argent, Johnny Boy a eu la mauvaise idée de leur emprunter
Son ami, petit mafieux ambitieux est amené à l'aider
Mais Johnny boy est loin de se calmer
Vers où cette histoire va nous mener? 

Je crois m'être assoupie un petit moment
Je sais, j'ai honte
Mais c'était tellement lent
Et j’étais un peu somnolente

Il n'y a tout simplement pas de fil conducteur
Peut-être un réalisateur
De bons acteurs, mais qui pourraient être meilleurs.

J'avais quelques doutes sur cette réalisation
Certains films ne sont pas faits pour vieillir
Celui-ci ne fait pas exception
Means streets me laissera un mauvais souvenir

lundi 23 juin 2014

Evénement Elite : Cook Like A Chef, Savour Like An Epicurian !

 Une journée un peu toquée

L'atelier des chefs pose ses ustensiles aux épicuriales.
Yelp nous régale.

Tout est cuisiné à la plancha
Et oui pas question de jouer les pachas.

La toque et le tablier sont de rigueur
Tout cela me met de bonne humeur

Mon estomac répond aux bonnes odeurs.
Heureusement tout est réalisé en une demie-heure



Nous passons à la dégustation
C'est plutôt bon
Même si le tofu n'emporte pas mon adhésion

Le dessert nous est offert
Il part en un éclair,

Le MENU des festivités:

Araignée de porc à la plancha (ou tofu),légumes de saison

Verrine mousse de framboises et fondant au chocolat

dimanche 22 juin 2014

BANCOGIRO, Une épicerie traiteur italien est à ce numéro



La botte de l'Europe a trouvé chaussure à son pied place des Grands Hommes.
Vous êtes à Rome.

Tous les jeudis, de nouvelles pâtes fraiches sont à l'honneur pour le plus grand bonheur de nos papilles.

Les antipastis, vins, charcuteries et ingrédients italiens sont divins.

Le lieu est tenu par une passionnée, tombée très tôt dans le pesto,
De facto, elle est devenue cuistot

Et moi j'y retourne presto

Je vous donne l'adresse
Allez-y à toute vitesse.

Marché des Grands Hommes
33 000 Bordeaux
0540055044







Lundi: 9h00 à 15h00
Mardi au Samedi: 9h00 à 19h00

https://www.facebook.com/pages/Bancogiro/426579750795543?sk=timeline

Comme le vent, un récit captivant




Je ne sais pas trop ce qui m'a porté à aller voir ce film, ce ne sont pas les critiques ni le réalisateur ou les acteurs.
Peut être l'histoire de cette femme qui lutte.

Le film parle peu mais les sentiments affleurent.
La langue italienne apporte indéniablement une fluidité aux dialogues

Valéria GOLINO, en directrice de prison est exceptionnelle, elle endosse admirablement un rôle difficile.
Un métier que l'on dit masculin mais qu'elle joue en tant que femme.
Nul besoin de singer le comportement des hommes pour exercer un métier qui leur est habituellement réservé

Elle part en quête de vérité après l'assassinat de l'être aimé. 
Elle n'est portée que par cette fin.
Qu'adviendra t-elle une fois les retrouvés les assassins?

L'investissement dans un métier qui l'a passionne n'atténue pas la douleur de la perte de son mari.

Les moments de bonheur sont trop éphémères dans une vie qui dure au-delà de ces instants.

 A noter: ne pas voir ce film quand on a le moral au plus bas.

Jersey Boys, superbement orchestré



4 jeunes gens forment un groupe les "four seasons".
Nous suivons leur difficile ascension.

Un film de Clint Easwood, son nom est un gage de qualité.

La musique est omniprésente
Et elle est épatante.

Je ne sais pas si Clint Eastwood a réalisé ce bijou en collaboration avec son fils musicien mais on peut le penser.

Je suis biberonnée au cinéma.
Mais il est souvent sans saveur.

Ce film fait exception.
Je me suis surprise à avoir le sourire toute la séance.
J'avais envie de danser et pourtant j'ai deux pieds gauches.
J'avais envie de chanter alors que je ne connais pas le son de ma voix.
Toute la salle remuait le pied ou agitait la tête en cadence.

La bande originale sort une semaine après.
Je vais me faire plaisir.

Un tout petit bémol, le film gagnerait en simplicité sans l'interpellation du spectateur.

Au delà, ce film est un délice de l'entrée au dessert.
J'ai été happée, le temps d'une séance, dans les années 60.

triple alliance, la polygamie version comédie




J'ai une carte au méga cgr jamais utilisée,
200 points gagnés pour une places achetée
Tout juste échangés une place m'est donnée,
Je ne vais pas me priver

Peu d'inspiration dans la programmation
Les films, toujours en VF n'emportent pas mon adhésion
Je choisis un film sans grande saveur pour ne pas être déçue par la Version Française.
Je tente ma chance avec triple alliance.

Un mari infidèle.
Sa femme se rend compte qu'il la trompe.
Elle rencontre les deux autres femmes qu'il fréquente et ensemble elles décident de se venger.

Ce film ne marquera pas l'histoire du cinéma
C'est un bonbon gélifié bien industriel
On n'est pas dans la qualité mais le superficiel
C'est assumé pour ne pas être sensationnel.

Certes, le film ne mérite pas d'être vu sur grand écran

C'est cousu de fil blanc mais par moment c'est amusant

vendredi 20 juin 2014

Au Nom du fils, d'une bêtise sans nom


J'ai une grande résistance, je ne m'endors pas devant les films et je ne sors pas de salle avant la fin.
Mais je n'étais pas assez armée pour supporter cet objet non identifié.

Le film:

Nous sommes dans une famille, fervente catholique.
La mère anime une radio chrétienne, le père part dans une retraite qui est tout sauf spirituelle.
Il y meurt dans des circonstances mystérieuses.
La famille accueille le père Achille.
Secrètement, il entretient une relation avec le jeune fils âgé de 14 ans.
Et bien entendu, tout part à vau-l'eau

Je suis en manque d'inspiration et reste sur une très mauvaise impression.
Je suis partie avant la fin,
Et ne reste pas sur ma faim.

La vie est courte autant en profiter et ne pas rester devant un vrai navet.

Ce film est une succession de clichés sur la religion.
On ne sait pas s'il s'agit d'une blague de mauvais goût ou d'une critique fourre-tout.

jeudi 19 juin 2014

Peppone, alla perfezione


Redéfinition des traditions,
La fête des mères sera fête des pères

Ode à Peppone 
Pas celui de Don Camillo 
Mais, ici, à Bordeaux

Samedi, place Camille Julian nous évitons
Mais ce Dimanche matin nous osons,
Un café à l'Utopia, nous dégustons
Le calme, nous apprécions

Porte close, partout, nous trouvons
Chez Peppone nous allons
Et nous nous régalons

Les rugbymen bordelais présents ont l'appétit pour deux pizzas
Mon estomac est déjà raplapla à la vue d'une pizza

Nous ne jouons pas dans la même cour.
Pour la deuxième, je passe mon tour.
Ce sera pour un autre jour.

31 cours George Clémenceau
33000 BORDEAUX
0556449105

lundi 16 juin 2014

Jour de fête, Tati me reste en tête


Cet été, JOUR DE FETE de Jacques TATI est rediffusé dans certains cinémas dont l'Utopia.
J'ai profité de cette opportunité et je me suis régalée.
Toutes générations confondues riaient à l'unisson.

C'est un film dont mes parents m'ont souvent parlés et plus particulièrement mon père.
Pour la fête des papas, le cadeau était tout trouvé.

Le film:

Des forains arrivent dans un village français et projettent un film sur les postiers américains.
Le facteur du village décide à son tour de réaliser une tournée à l'américaine. Mais c'est sans compter sur les mauvais tours que vont lui jouer ses amis.
Le courrier va suivre un périple un peu inhabituel.

C'est une lettre d'humour, un colis de drôleries.
Peu de dialogues, nous sommes dans du comique de situation.
Le postier, joué par Jacque TATI porte le film sur sa bicyclette. 

On ne peut que se réjouir qu'il ait embrassé la carrière de réalisateur et non de facteur!

Je parlerai peu aussi si ce n'est pour clore le sujet en précisant que JOUR DE FETE me séduit davantage que les vacances de Monsieur HULOT dont je parlerai prochainement.

dimanche 15 juin 2014

L'Elliniko, beau et bon ex aequo


Mangeons peu mais mangeons bien au Marché des Capucins.

Le week end, je ne suis pas très matinale.
Tard, je me trimballe au marché, armée de mon panier.
J'aime flâner, fouiner et découvrir de nouvelle saveurs.

A une intersection je découvre que j'ai pris la direction de la Grèce et je débarque à L'ELLINIKO".

C'est la crème de la crème en matière de cuisine grecque ou devrais-je dire, c'est la feta de la feta.

Un voyage gustatif se prépare.
Mes pupilles brillent et mes papilles frétillent.
C'est le nirvana pour mon estomac
Il s'égare.

Ce ne sont pas des racontars, cette découverte est un hasard.
Je pars mais je vous dis à plus tard.

samedi 14 juin 2014

La ritournelle, une rengaine sans étincelles


Je suis la plus jeune dans la salle. Les films français n'attirent pas les moins de 40 ans.

Le film:

Brigitte et Xavier sont de éleveurs bovins en Normandie. Xavier aime son métier mais Brigitte s'ennuie.
Sous un faux prétexte, elle décide de partir à Paris pour faire des rencontres.
Inquiet, Xavier monte dans la capitale et découvre que sa femme lui échappe.

Jean Guitton disait qu'on appréciait la qualité d'une œuvre aux moments d'exceptions présents dans l'ouvrage.
Ces instants sont rares dans le film ici présent. 
Une scène me revient, celle du fils, qui réalise un exercice d'acrobatie. C'est un pur moment d'émotion que je garderai.


La plupart du temps, on suit péniblement le jeu cabotin d'Isabelle Hupert.
Jean-Pierre Darroussin bénéficie certes, d'un rôle beaucoup plus attachant et excelle dans ce registre.


Je n'apposerai pas la mention trésor sur ce film mais il recèle quelques pépites



les voies du destin, un trajet douloureux


Ces fortes chaleurs me conduisent toujours dans les salles obscures et climatisées.

J'aime à penser que l'UGC de Bordeaux gagne sa vie grâce à moi.
En effet, j'étais seule en salle. 
Une projection pour ma petite personne, je vous remercie Monsieur le PDG d'UGC Bordeaux.
Je renouvelle l'expérience quand vous vous voulez.

Parlons film maintenant, voulez-vous?

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, Le lieutenant LOMAX est fait prisonnier par les Japonais en Indochine. 
Il bricole une radio avec ces compagnons de cellule. 
Mais leur entreprise est découverte. 
LOMAX se dénonce, il sera torturé afin d'avouer leurs plans.
Des années après, il se remarie mais souffre de stress post traumatique. Sa femme souhaitant l'aider à revenir sur ces évènements, elle retrouve un des officiers japonais présent à l'époque.

Le film s'inspire d'une histoire vraie.
Il débute par la rencontre de LOMAX ( Colin Firth) et de sa future femme (Nicole Kidman).

Les rêves de LOMAX sont une porte ouverte sur ce qu'il a vécu en Indochine. 
Un ami à lui, vétéran aussi, relate également une partie des faits.
Ce double regard est intéressant.

Les acteurs sont excellents. 
Les émotions affleurent et nous ne tombons jamais dans le pathos. 

Cependant, le film réalise alors des retours en arrière un peu douloureux pour le spectateur. 
Certaines scènes de torture sont filmées de manière insistante, j'ai baissé les yeux. 
La suggestion est la plupart du temps grandement suffisante à la compréhension du sujet.

Je n'en dit pas plus pour ne pas dévoiler le film.

Le plus gros bémol, à mon sens, est le manque de fluidité de l'histoire.

vendredi 13 juin 2014

CMYE Bulles de Savons et Autres Secrets @ La Cardabelle
















Il fait beau et chaud.
Une bonne excuse pour buller.
Je me lance dans le grand bain d'un résumé de la soirée sans vraiment savoir nager.
Je rentre dans l'antre du savon, des senteurs, de la douceur, de la chaleur (oui avec ce temps on pense plutôt douche froide que bain chaud).

Nous sommes, comme toujours superbement accueillies ( oui "ies" les hommes manquent à l'appel de la douceur). Pourtant vous trouverez des produits dédiés à votre peau.

Nous visitons tous les stands:
- maquillages
- savons d’Alep ( car ville de Syrie),
- senteurs d'intérieur et encens,
-  produits de lavage du linge,
- savons (tout tout plein de savons pour tous les goûts et toutes les peaux),
- gants de sisal (pour combattre les capitons et autres peaux d'orange pour avoir une beau de bébé cet été).

Je découvre le bois de cade pour faire disparaitre les odeurs un peu tenaces de son intérieur.

Les bonbons au lait d'ânesse sont surprenant mais après tout il faut être curieux

La propriétaire des lieux nous a concocté un buffet gourmand végétalien tout à fait délicieux, mention toute spéciale au beurre de cacahuètes maison.

Merci pour mon savon cadeau que je me suis empressée de tester en rentrant.
Une peau toute douce pour clore une soirée tout en douceur.

 Hôtel de Ville - Quinconces
29 rue St Rémi
33000 Bordeaux
Numéro de téléphone 09 82 44 23 35

des nuages dans la tête

Être étourdie.

Je suis tête en l'air et c'est un euphémisme.
Tout ce qui n'est pas solidement attaché à ma personne est susceptible de se perdre.
Je n'ai pas d'enfant, c'est plutôt rassurant.

Avec ce type de pathologie, il ne faut pas être matérialiste.
Mais par dessus tout, il faut être chanceux.

Il faut parier sur une chance de débutante alors que vous êtes une étourdie confirmée.
On débute, petit joueur, par des oublis communs.

La plus connue: s'enfermer dehors en chaussons, sans téléphone.
La plus proche: abandonner ses clefs sur la serrure et les retrouver, le soir au même au endroit.

La plus commode: partir sans son portefeuille, resté sur la table. Vos finances seront ravies si vous êtes dépensier.
La plus risquée: déposer des documents administratifs à la bibliothèque, emprunter un livre mais partir sans les documents qui sont susceptibles d'obérer toute vos chances à l'examen.

La plus coûteuse: mal accrocher un bijou de valeur, le perdre, appeler le service des objets trouvés en vain, verser quelques larmes et le découvrir 5 heures après sur le trottoir
La plus communicative: oublier son téléphone à la mairie.


La plus éblouissante actuellement: oublier ses lunettes au cinéma de l'utopia.

Tous les cas présentés se finissent bien.
A chaque fois, l'objet est retrouvé à l'endroit du délit d'étourderie.



jeudi 12 juin 2014

Maléfique, un envoutement


Venant de l’Oise, les fortes chaleurs de Gironde me conduisent dans les salles obscures.
Aucun film n'avait ma préférence, ce fut Maléfique, ainsi en a décidé le sort.

Je suis happée des les premières minutes du film et tombe sous le charme de ce petit bijou adapté à tous les âges.
Nul besoin de la 3 D pour apprécier la qualité des images.

L'histoire est bien différente de la version que chacun d'entre nous a pu découvrir enfant.
Nous abordons l'histoire du point de vue de la sorcière Maléfique.
Le film est drôle et touchant.
Les 3 bonnes fées ajoutent une pincée d'humour.

Cette version avec Angelina Jolie dans le rôle titre, Maléfique est tout simplement magnifique.

mercredi 11 juin 2014

expropriée par son fauve


















Vous ne vous êtes jamais dit que votre fidèle compagnon avait pris possession de votre maison?
Il est petit et mignon, ils vous amadoue. Vous faites l'erreur de le laisser se blottir contre vous et un jour vous réalisez qu'il est le propriétaire et que vous êtes sont locataire avec un bail précaire.
Il s'empare de votre placard, de votre lit.
Ses poils dispersés un peu partout sont l'empreinte de ses passages.
Il adore sécher sa robe sur vos draps tout propres, déposer son odeur, éparpiller des gravillons partout et miauler à des heures inhumaines.

L'idée vous vient de lui offrir une jolie maison.

L'idée sous-jacente est qu'il déserte un peu la votre. Mais il n'a aucune envie de déménager. Ce bel achat accueillera tout ce qui passe sauf votre chat qui se fera une joie de dédaigner ce lieu de manière tout à faire ostentatoire.
Vos tour de vis et votre temps passé à édifier ce lieu de villégiature n'auront servi à rien si ce n'est vous faire les muscles.

Vous n'avez plus qu'à espérer qu'il mette un jour les pieds, les pattes dans ce logement.
En attendant, il prend toujours ses aises sur votre lit, qui est maintenant son lit vu le temps qu'il passe dessus.



Cherchez le piège? La ressemblance est confondante mais en fait, ce n'est pas un chat mais deux chats qui ont pris le pouvoir.

mardi 10 juin 2014

Rituel beauté, si seulement c'était perpétuel


Aujourd'hui bichonnons nous dans ce joli salon et déclarons la guerre aux capitons, heu non aux points noirs (nous nous égarons).
Ce salon est mon lieu de prédilection pour passer un moment apaisant, détendant, relaxant.
Je suis accueillie par la jeune femme des lieux et c'est un vrai plaisir.

Ce n'est pas qu'un soin ou une épilation mais un moment d'attention et de discussion pour les plus bavardes.
J'apprécie ces petits moments hors du temps. Le téléphone est silencieux, la montre est loin et on éteint les lumières en plein jour.

Le salon invite au calme, les couleurs sont claires et la musique est douce.
Je reprends le train de la vie mieux dans ma peau même si celle-ci est un peu rougie par le soin. Mais je remercie le fond de teint qui me fait une peau de bébé et dissimule l'étape extraction de points noirs.

Jusqu'en juillet, un soin, dont le nom m'échappe est à moitié prix. Un moment apaisant pour les finances aussi

 Saint Bruno - Saint Victor
1 rue de Pessac
33000 Bordeaux
Numéro de téléphone 05 56 96 52 16

bird people, un drôle d'oiseau


Les quelques première minutes du film m'embarquent (sans mauvais jeu de mots), je ne peux pas l'expliquer mais cette simplicité me plaît.
Ce film est aérien, il est une métaphore permanente de l'envol.
L'affiche de ce spécimen mérite qu'on s'y attarde.
La jeune femme regarde un avion s'envoler l'homme également. Mais leurs avions ne vont pas dans la même direction. Ils sont en transit. Ils sont au même endroit mais perdus dans cette immensité. Un lieu de passages où tellement de rencontres possibles n'arrivent pas parce que tout simplement il y en a trop.
Les gens se croisent comme des avions en plein air mais ne se parlent pas.

La fenêtre est entre-ouverte.
l'aéroport est le lieu de tous les possibles, une invitation au voyage mais on constate que les personnages étouffent. Ils ne parviennent pas à survivre à l'enfermement qu'est la vie. Ils sont des oiseaux comme le nom du film invite à le penser. Mais des oiseaux à qui on aurait coupé les ailes.
Le dessinateur veut esquisser l'oiseau battant des ailes. Il veut du mouvement.

La première partie du film m'a embarquée mais j'avoue avoir un peu décroché au milieu pour ré embarquer finalement à un certain moment que je ne citerai pas pour ne pas dévoiler le plan de vol.

Alors oui j'ai pris mon billet pour ce film et le voyage m'a plu.  


Evènement YELP épicé



















L'armada des Yelpeuses est partie à la conquête du dock des épices.

Nous avons jeté l'ancre et arrimé nos pieds au dock des épices.
Je fus LA Christophe Colomb yelpeuse le temps d'une soirée.
J'ai adoré ce rôle.

L'autochtone est passionné et passionnant!!

Je suis tombée sous le charme:
- de la confiture de vanille (dans les petits suisses miamm)
- des fèves tonka (me rappelant l'odeur de la colle de mon enfance" je vous rassure je ne plongeais pas le nez dedans")
- des fèves de cacao ( on peut faire du grué de cacao avec)
- des boutons de roses (mon côté girly).

Les poivres n'ont plus de secrets pour nous.

J'y  retourne dès que l'âme de martha stewart (la grand prêtresse des fourneaux) se réveille en moi .

Je lève l'ancre mais le DOCK reste une escale incontournable sur ma carte des trésors bordelais. 

 Hôtel de Ville - Quinconces
20 rue Saint James
33000 Bordeaux
Numéro de téléphone 05 56 44 41 57

Ma boulangerie, une féêrie


La première fois que je suis arrivée sur Bordeaux, je suis allée dans la boulangerie au pied de mon immeuble.
Une petite boulangerie de quartier que j'ai vite abandonnée.

Depuis mon emménagement, je suis le Christophe Colomb de Bordeaux, le pirate à la recherche de trésors inconnus au bataillon.

Lors d'un périple, j'ai découvert une contrée "la boulangerie de l'hôtel de ville"qui renferme un trésor de gourmandises.

Les créateurs de ce lieu sont originaires de Lyon et ont entre autre la praline comme spécialité.

De ce fait, on trouve des brioches aux pralines, des tartes aux pralines, des croquants aux pralines, des muffins aux pralines et j'en oublie.
Mais encore des tartes au citron, au myrtilles, des croissants, tartes au sucre, fondants au chocolat, pains au chocolat, brioches au chocolat...

Cette terre de gourmandises sucrées dispose également de quoi satisfaire les becs salés.
Du pâté en croûte, des sandwichs et les incontournables pains au comté.

Ce lieu renferme également un pain divin. Ma préférence va au pain des moissons, extra au petit déjeuner!!!

Si l'on souhaite déguster ces gourmandises sur place, cette péninsule est tout à fait adaptée pour vous accueillir.

Vous serez accueillis comme des rois et des reines par les autochtones de ces lieux.

 Hôtel de Ville - Quinconces
76 Rue des Trois Conils
33000 Bordeaux
Numéro de téléphone 05 56 11 01 10