Bordeaux est ma ville d'adoption Le 7ème art mon lieu d'évasion Les séries et livres mes passions
mercredi 28 janvier 2015
La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry de Rachel Joyce
Le livre:
Harold reçoit un jour, une lettre d'une amie perdue de vue.
La qualité de cet ouvrage peut questionner
Mais je me laisse porter.
Une tête à alléger,
Un cœur à dénouer,
Découpé en tout petits chapitres,
Je ne risque pas l'usure.
L'ouvrage n'est pas révolutionnaire,
Au regard de ma consommation de livres, je l'oublierai mais il m'a ému
Le livre part mais les jolis mots restent en mémoire.
mardi 27 janvier 2015
Men, women, children: un film connecté
Le film:
Portraits de lycéens aux travers de leurs différents modes de communication.
Le nom de la réalisatrice ne m'est pas étranger
J'avais vu un précédent, "JUNO" que j'avais aimé.
Mais je n'ai pas apprécié ce dernier
Je ne me suis pas laissée portée
La voix off m'a lassée
Les acteurs m'ont ennuyée
Les parents sont caricaturaux
Le film sonne l’Amérique bien pensante.
Real humans: Bienvenue à HUBOT LAND
La série:
Les humains ont crée des robots.
Série suédoise conseillée que je me suis empressée de regarder.
Comme à mon habitude, je n'ai pas traîné
Mais il me faut aujourd'hui attendre la suite avec patience.
Cette série est intelligente.
Elle questionne le spectateur.
Puis il faut avouer qu'elle est particulièrement soignée et bien jouée.
Unique dans le paysage audiovisuel actuel
Elle n'a pas à rougir de ses concurrents américains.
Comment tuer son boss 2? De l'utilité du 2ème
Le film:
Comment tuer son boss, 2 ème version.
Le premier n'était pas de haute volée,
Le deuxième est à survoler.
Humour gras et scénario plat
Mais le tout est parfaitement assumé
Pas de mensonge sur la qualité
Pas de surprise à l'arrivée
Film taillé pour être oublié.
Tueurs de dames: N'est pas tueur qui veut.
Le film:
Un groupe de musicien loue une chambre dans la maison d'une vieille dame mais au lieu de répéter ils préparent un hold up.
Film drôlissime à voir et revoir
Un grand classique maniant avec brio l'art comique.
A l'affiche, Alex Guinness et Peter Sellers.
Parfaitement British !!!
The Riot Club: l'élite de la débauche
Le film:
Le cercle très fermé d'Oxford se retrouve pour une soirée pleine d'excès.
Comparé au club des poètes disparus à sa sortie
L'analogie est abusive.
Ce film est gratuitement violent
Sans fond, sans forme.
Il met en scène des jeunes hommes qui n'ont pour eux que leur physique avantageux
Le film sonne le creux.
En hommage à Robin Williams, retournons voir "le Club des Poètes Disparus" et boudons cet ersatz.
J'ai 15 ans et je ne veux pas mourir, de Christine Arnothy
Cadeau Hongrois de Noël
Grand classique de la littérature hongroise que je ne connaissais pas
Mais que l'on ne trouve nulle part, exception faite de Mollat.
Ce livre est d'une tristesse infinie, chaque espoir se solde par une déception.
L'histoire hongroise est tragique, faite de déracinements.
Christine Arnothy, avec la sensibilité de l'adolescence, participe à la transmission de cet héritage.
jeudi 8 janvier 2015
Une heure de tranquilité: Monologue raté
Le film:
Michel, fan de jazz, veut écouter son nouvel album mais le sort s'acharne contre lui.
Ce film marque le retour de Clavier
"Qu'est ce qu'on a fait au bon Dieu" fût un succès
L'essai va t-il se confirmer?
La promotion fût appuyée
A en faire douter la qualité
Je me dois de tester
Je suis déçue
Les acteurs en font trop
Est absent, le scénario.
A most violent Year: Univers de gangster
Le film:
Un immigré tente de se faire une place dans le business du pétrole.
Film très classique
Ambiance à la Scorcese
Mais sans l'égaler
Vite gagnée par l'ennuie
Je ne me suis pourtant pas endormie
Mais l'envie y était
Oscar Isaac manque de présence
Jessica Chastain surjoue
Le tout manque de substance.
Whiplash: la leçon de batterie
Le film:
L'apprentissage d'un jeune prodige de la batterie.
Le film est rythmé
Terriblement bien joué
Un vrai plaisir à regarder
Une joie à écouter.
Certes, il n'innove pas
Mais l'ensemble est harmonieux
On ne s'ennuie pas
Actuellement, je ne trouve pas mieux.
vendredi 2 janvier 2015
Les souvenirs: Comédie à retenir?
Le film:
Roman voit sa grand-mère contrainte d'aller en maison de retraite.
Mais, un jour elle s'enfuit.
N'ayant pas lu le roman de de David Foenkinos
Je ne dispose pas de point de comparaison
Je me limiterai à l'observation du film
L'histoire est attachante
La rencontre de 3 générations
Racontée avec délicatesse.
Mais la subtilité manque
L'humour omniprésent n'est pas toujours bien amené
Et la fin n'est pas subtilement traitée.
La french: Je sèche
Le film:
Inspiré d'une histoire vraie, celle de la French Connection.
Nous suivons le démantèlement d'un réseau mafieux agissant sur Marseille.
Mené par un duo d'acteur que je n'affectionne pas du tout
Je prends tout de même le risque
Mon verdict a quelques difficultés à tomber
Je n'ai pas apprécié
Les acteurs jouent platement
Le film dure bien longtemps
Le propos du film qui se veut politique n'est pas abouti
Celui -ci s'attache trop aux petites histoires obérant la grande.
La famille Bélier: Comédie signée
Le film:
Née dans une famille de sourd, Louane se découvre un don pour le chant.
Comédie de fin d'année ayant bénéficié d'une certaine publicité
Ceci me fait douter de sa qualité
Sortie sous le label UGC spectateur
Le mérite t-il?
Mon verdict est plus nuancé
Je me suis amusée
Mais les extraits diffusés à outrance ont desservi le film
Les meilleurs moments sont déjà connus
L'histoire est un brun caricaturale
Karin Viard et François Damiens forcent le trait
Les autres acteurs s'en sortent bien
Je me réjouis d'un film en langue des signes
Père Noël: Il descend du toit
Le film:
Un cambrioleur grimé en père noël se voit stoppé dans son entreprise par un petit garçon.
Certainement pas le film de l'année
Mais définitivement celui de la fin d'année
Cette comédie est certes, cousue de fil blanc
Mais les deux acteurs sont terriblement attachants
Je me suis laissée portée
L'histoire est amusante, touchante
Des ingrédients utilisés avec parcimonie
La recette du succès.
White god: la guerre est déclarée
Le film:
En Hongrie, les chiens sans race sont maltraités.
Mais la vengeance sera sans pitié.
Ce film est inclassable.
Violent et prenant
Non dénué de défauts
Mais le propos est beau
Les acteurs sont excellents
Cette œuvre mérite le détour.
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