Will SELF avait réécrit Dorian GREY.
BONNELO dépeint un
saint-Laurent tout en excès.
le film est un vêtement cintré
Tout est corseté,
étriqué, appliqué.
Merveilleusement
réalisé mais où est la spontanéité?
Oubliée pour une
absence d’humanité.
Les belle matières en
font perdre celle du film qui me laissera un souvenir éphémère.
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